4
Clic-Carte
Description du parcours ABCDEFGHIJBA
Emprunter en
A la route de terre qui monte au lac Despériers. Peu après la première côte notable, on apercevra sur la gauche, la piste de motoneige
B que l'on empruntera car c'est elle qui mènera au sentier du ruisseau proprement dit. Après huit minutes de marche, on traversera le vaste couloir de la ligne de haute tension de l'Hydro-Québec,
C , la piste de motoneige se poursuivant de l'autre côté. On laissera bientôt sur la droite un vieux chemin qui remonte vers la route du lac Despériers et après une légère descente et une zone plate, on atteindra le ruisseau qui coupe la piste au point
D .
Toute la zone forestière parcourue jusqu'ici est surtout composée de trembles et de bouleaux avec quelques belles épinettes et de notables bosquets de frênes noirs. On pourra parfois, quand la terre meuble affleure, relever des pistes d'animaux; (attention,
Canis domesticus prédomine). En juin, grâce à un bon ensoleillement, un large éventail de fleurs sauvages est offert.
On ne traversera pas le ruisseau car le sentier qui le remonte est situé au début sur la rive gauche (par rapport au sens du courant).
D'abord en surplomb par rapport au ruisseau, on s'en rapprochera pour remarquer un gros bloc erratique placé en son milieu. On s'en éloignera de nouveau, passant à côté de la base d'un pin calciné. Une descente en pente douce nous ramènera à la rive que l'on longera scrupuleusement jusqu'à une zone de cascades. Là, pour mieux jouir du spectacle, on traversera le ruisseau et arrivé dans la partie haute des cascades, on retournera sur la rive gauche que l'on suivra jusqu'à ce qu'elle devienne un peu trop abrupte pour nous inviter à un nouveau franchissement du ruisseau. Cheminant donc sur la rive droite, on atteindra bientôt un bassin où s'élève un bouleau sur socle de pierre et au-dessus duquel, vers le sommet de la gorge assez profonde dans laquelle coule maintenant le ruisseau, on verra se dresser les troncs de quelques pins blancs. Sautant le ruisseau, on rejoindra ces derniers par une pente assez abrupte qui nous amènera à un surplomb en arc de cercle à partir duquel on découvrira l'une des collines avoisinantes. On replongera vers le ruisseau en passant à côté de l'un des plus vieux pins blancs des Kékéko.